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Sur le grand raid : Olivier avec Johann (Les Griffons) prennent une excellente 2ème place, Yvan avec Francis terminent 22ème.
Sur le petit raid : Manu avec Tom montent sur le podium avec une prometteuse 3ème place, Denis avec Gill et David avec Mickaël terminent 16ème et 17ème.
   
Raid des flying à Sainte-Eanne : Pour ce très beau raid, 4 rédacteurs ont pris la plume (David, Denis, Mickaël et Manu).
                                                                                                                      Bien les gars : génial.......
 
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4ème rédacteur : Manu (Jeudi 15 avril)

                                   P’tit résumé vu par Thom et Manu.

Samedi :

            Après nous être préparé, direction le briefing vers 13 H 30.

14 h le départ, on commence par un petit trail d’échauffement d’un peu plus d’un Km derrière un équipage de chiens de traineaux. Sur ce genre de truc, tous le monde part au taquet et termine en apnée avant la fin. De notre coté, le choix du « laisse passer les autres » a été choisi avant le départ mais comme d’hab, on ne peut s’empêché de suivre les autres: question d’orgueil peut être.

A la fin du trail je récupère la carte de VTT O puis on file au camion où l’on avait préparé tout le matos pour tracer les deux balises manquantes sur le parcours (ben ouais !, y’en a qui lise le raid-book).

            Le traçage fait, on passe voir les « lents » (qui ne le savaient pas encore) dans leur tente, juste histoire de se rassurer sur la position des balises. Ça y est, tous le monde est ok, on enfourche nos VTT avec Thom et on dit « à ce soir ! » à nos 4 compères que l’on ne reverra plus de l’après midi.

On positionne la carte dans le bon sens et Thom est à la baguette pour l’orient, moi, j’ai pris le carton. Notre objectif : ne pas partir comme des dératés pour assurer au niveau orientation. Les balises s’enchainent et Thom assure, pas d’erreur sur cette portion et sans être au taquet on arrive dans les 7 premiers au départ de la CO en forêt (Fouilloux).

Là, on se dit qu’on est pas mal, mais on garde notre ligne de conduite et on se plonge de suite dans la Co. Le Ravito zappé, on a trop envie d’allé galoper dans cette forêt, en tous cas, moi le premier.

            Coté orientation, j’ai pris la carte, et dans tout le raid on procédera comme cela : Thom Oriente à VTT et moi en course à pied. On part sur la route coté arrivée du VTT, comme pas mal de monde je pense. En direction de la première balise, on s’aperçoit qu’on va pouvoir couper, le bois n’est pas très sale et la carte est super, donc c’est parti !!

Les postes s’enchainent et je suis à bloc, Thom me lance un petit « pas trop vite ! », je ralentis, c’est vrai il a raison, la journée n’est pas finie. Au tiers du parcours on traverse un fossé en lisière de bois. Je saute le premier et atterri à 50 cm du bord : de l’eau jusqu’au genou. Thom qui a les papattes un peu plus courtes va moins loin et termine avec de l’eau jusqu’ à la taille. « Profond quand même ce fossé » ; Solidaire, je le laisse se débrouiller et je me marre en partant, de toute façon, ça le fais rire lui aussi.

            Plus loin, pour rattraper un mauvais choix, je pars en mémo sur la 19 et Thom un peu moins frais (même après avoir trempé) part chercher la suivante.

Sur le troisième poste avant la fin, on rattrape ceux qui nous précéderons au classement final. On tente de pointer incognito mais on est repéré et on termine sur le poste 25 ensemble ou là, la discrétion a fonctionné. Montrant en silence l’emplacement de la balise a Thom, je lui dis «  on est trop loin, on s’est trompé» et je pars sens inverse. On se rejoint sur le chemin du retour, Thom me file le carton et trop content de nous, je pars le plus vite possible vers l’arrivée tout en contrôlant mon carton pour être sur de tout avoir. Contrôler c’est important, car on allait rentrer sans prendre la 28 Sur le chemin d’à coté nous obligeant un petit crochet sans grande incidence. On arrive 4eme. Tiens, on a gratté du monde sur cette CO !

            Epreuve suivante : Bike’n run en road book sur un peu plus de trois Kms : rien de bien particulier, les carrefours sont nickels comme sur la carte.

            A l’arrivée, Julien et quelques uns de ses alcooliques nous attendent avec d’un coté les bières sur la table et de l’autre la carte du départ de la Co Photos. On hésite ! Qu’est ce qu’on prend ? Finalement on part faire cette Co photos. Seule la photo de la mare aux roseaux nous a fait hésitée.

            Retour identique à l’aller : en Bike’n run, puis on récupère le deuxième VTT. Je regonfle ma roue avant qui est percée et on reporte les balises avant de tracer notre itinéraire.

Juste en partant, on croise une équipe  complètement paumée, elle cherche le départ de la CO. Pour eux la soirée va être très dure, ils sont à la bourre ! Si si ! Ce n’est pas nous qui sommes rapides. Sur le chemin du retour, à part la première balise que nous n’avions pas bien reportée (le long du ruisseau  100 m après le carrefour) les autres ne nous ont pas posées de problèmes. Ce qui a été le plus gênant ! La super grosse giboulée qui transforme le chemin en cour d’eau. Alors tu pousses ton VTT et quand tu remontes dessus, au bout de trois tours de pédaliers tu t’aperçois que t’as pas encore avancé. Sur cette partie je me suis caillé et ce fut la partie la plus difficile de la journée pour moi.

 

            Le VTT terminé, une petite CO avec vue aérienne du bourg du Breuil nous attendait. Thom un peu claqué et ayant mal de tête prend la carte et m’indique les emplacements des balise. Moi, sur ce coup la, j’ai fait mon « Denis » expression bien connue des raideurs qui qualifie le gars qui va pointer les balises(en référence a un super pointeur dont je ne connais pas le visage car il court toujours plus vite que moi et je l’ai toujours vu de dos).

 

            « Bon, ben ça c’est fait »

 

            Lavage des vélos, douches et préparation du Ma-mame pour recharger les batteries. Pendant ce temps la, les lents, (ça y’est maintenant ils le savent) arrivent. Gill toujours informé nous annonce notre 4 eme place.

 

            21 h. Tous les rados du p’tit raid sont dans la salle et attendent la CO nocturne. L’itinéraire est imposé (de 1 jusqu’à 28) et le terrain de jeu pas très grand. On se dit qu’il ne faut pas trainer si on veut être tranquille et ne pas se suivre les uns derrière les autres.

 

            Encore une fois on laisse les lents derrière nous au départ. Mais la, soudain, l’angoisse : « et si ils nous doublaient ?  P……. les Boules !! » Non j’déconne !

 

            Sur les deux premières balises, à part ma frontale qui est tombée deux fois par la faute aux ronces, on n’a pas eu de problèmes mais cela m’a un p’tit peu énervé quand même !! Résultat, sur la troisième, plantage complet, on tombe sur la 25. Je me recadre et la suite se déroule tranquillement. On croise les lents entre la 5 et la 6 (Mickael, attend à un carrefour : Eh ouais, on t’as vu !!)et on rentre en 1 h 37 ce qui nous donne la troisième place de la CO. Il est minuit, maintenant dodo !!!

 

Dimanche :

 

            Debout 6 h, petit dej au chaud dans la salle. Départ a 7 h 30, Vaness passe vers 7 h 15 et annonce « briefing dans 5 minutes », elle repasse un instant après et RE annonce « briefing dans 5 minutes ».ça passe pas vite quand même !!

 

            Idem pour le départ : trail mais cette fois ci derrière une grosse bébête pleine de poils (cheval).La aussi, personne n’a réussi à le doubler.

 

            Comme la veille, on récupère une carte VTT O et on suit l’itinéraire indiquée. Deux équipes sont devant nous et s’arrêtent à un carrefour dans la vallée. On part à droite par le chemin qui monte juste à coté de la cabane mais personne ne nous suit. Plus haut nos poursuivants arrivent par un chemin venant de la gauche et restent en arrière de nous. Juste avant d’arriver sur la balise 2, ils nous doublent (on était arrêté, sinon impossible pour eux !!!)et nous disent que nous n’avions pas la première balise. BOUM !!

Aille ! Aille ! Aille ! Ça commence mal, trop tard pour faire demi-tour donc on part avec la ferme intention de ne faire aucune erreur et de compter sur celle (s) des autres mais avec un p’tit coup au moral.

            Deux équipes sont devant nous et une troisième nous double dans la grande côte avant le départ du road book qui ne s’avère pas très difficile vu les distances entre chaque intersection.

 

            On arrive donc les quatrièmes au canoë :

            Barriere horaire d’une heure, 14 balises (dont 1 à azimut) à pointer. Tous le monde part vers le barrage, on fait de même, histoire de voir le comportement des autres équipes au bout d’une heure. La chance avec nous, la balise à azimuter est située de ce coté. Arrivé à 40 mn, on décide de shunter les 3 balises du fond et de prendre celles de l’autre coté de la rive en rentrant. Temps final : 56 mn, on est dans les clous !

 

            Ensuite, petit suivi d’itinéraire jusqu'au barrage. Un ch’tite balise à pointer en passant, mais surtout à poinçonner dans la bonne case !! Pas vrai, l’équipe des 4 Rados, là, ils n’ont pas été fantastiques. C’était la C et pas la 6 à poinçonner, ça c’est balot!!! Forcement, après toutes les autres sont décalées mais je pense que d’autres équipes se sont faits avoir.

 

            Au barrage, tir et tyrolienne (une pelleteuse et deux camions grue : 180m de long pour le câble) Manquent de moyens les Flyings !!  Le plus léger(Thom) à la place du saucisson au bout de la ficelle (tyrolienne) et moi au tir sur des carabines de compet. T’éternue, ça part tous seul mince ! Résultat : Thom a déplacé la pelleteuse (le câble y était attaché) et moi je n’ai pas abimé le 10 du carton de tir (27/30).

 

            Apres cela, VTT mémo, tiens y’avait longtemps ! But du jeu : regarder une carte et ce souvenir de l’itinéraire jusqu'à la prochaine carte et cela 3 fois de suite. La deuxième portion fut un peu plus longue et nous a permis (merci Thom) de doubler deux équipes.

            On arrive ensuite sur le poste de tir à la sarbacane. Six ronds numérotés de 1 à 6 (original non !) qui correspondent à des emplacements de balises en ville. Six flèches, si on loupe un rond, on va chercher la balise correspondant au numéro. Pour nous ce sera 4 ! Quand on vise mal on court bien !

 

            On repart après cela en VTT report d’itinéraire jusqu’au « Puits d’enfer ». On pose les vélos et on nous donne une carte de CO avec 12 postes à chercher dans ce bric à braque de sentiers, d’escaliers et de gros dénivelés. Ah oui, j’oubliai, l’échelle de la carte : 1/1500 autant dire que l’on avait la même impression qu’un joueur de ping-pong qui joue debout sur sa table. Tous les repères sont bousculés et je me retrouve trop loin aux 3 et 4 ème postes. J’envoie Thom en haut d’un talus pour poinçonner alors que la balise est 10 m derrière nous. J’voulais juste voire ce qu’il avait dans les cuisses. Bref, très intéressante CO et pas banale.

 

            Enfin, dernière épreuve, VTT avec report de balises sur notre carte et à nous de tracer notre itinéraire. La première (18) se trouve sur le sentier de la sortie du puits d’enfer. « Sentier » oui pour sa partie basse, mais la sortie du coteau ressemblait plus à une via-ferrata qu’à un parcours VTT. La machine sur l’épaule et l’autre main cherche un appui pour grimper. Après cet échauffement (si si on était chaud !) le reste de la portion VTT était plus roulant mais avant l’arrivée, nous avons fait un p’tit crochet dans la vallée par laquelle on était partie, juste histoire de voir si la balise que l’on avait loupé ce matin était toujours là. Bonne pioche ! Le dé balisage n’étant pas fait, on poinçonne la case manquante et on rentre par le sentier de la vallée que l’on connait par cœur depuis hier.

Au PC course, on arrive 4 ème, mais on ne connait pas le classement définitif. Lavage des vélos, douches Ma-mame et puis  les « lents » arrivent.

            C’est marrant ça ! Des qu’on prépare à bouffer, ils se pointent ! On range le matos (toile, vélos etc.…) et on part manger (encore) dans la salle ou l’on retrouve les costauds de l’ultra (Olivier Johann Yvan et Francis).

Remise des résultats : On décroche la troisième place (on se voyait plutôt 5 ou 6). Les « lents » en ne poinçonnant pas les bonnes cases terminent 16 et 17 : dommage !

Olivier et Johann 2eme et Yvan et Francis 22 ème : respect !!!

 

Bon, ben voila ça c’est fait ! On se rappellera des conditions météo du samedi qui ont données une saveur (boue) très particulière à ce raid ou l’on a pris énormément de plaisir.

 

Thom et Manu

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3ème rédacteur : Mickaël (Mercredi 7 avril)

Et un petit de Mickaël,

Très court pour dire que si vous lisez ces quelques mots et que vous hésitez à vous lancer il ne faut plus. J’ai passé un super week-end sans me mettre de pression la preuve après un repas du samedi soir un peu dur a digérer j’ai attendu mes coéquipiers sur quelques portions .

Deux jours de bonheur dans les champs, dans les bois, sur l’eau, dans les airs pour certains, dans la boue et même dans l’eau. J’ai adoré apprendre auprès de mes compagnons de galère à rouler dans des chemins qui ressemblaient presque à des ruisseaux. Merci à Gill Denis et David pour les bons moments passés du côté de Sainte-Eanne et tous les conseils pour s’organiser et surtout …….Mickaël boit !!!!!!! Hein Gill . J’ai moins bien aimé arriver au camp de base et voir Tom et Manu frais comme des gardons douchés vtt lavés. Je me demande s’ils ont fait les épreuves ……non je rigole bravo les gars, enfin les avions de chasse. Bravo aussi à Yvan et Francis, ils ont vraiment galérés pas vrai Francis. Nous avons vraiment eu une belle organisation…

 

                      A bientôt pour de nouvelles péripéties.

                                                                                                                                                                             Mickaël 
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2ème rédacteur : Denis (Mardi 6 avril)

LE BARBU complète :

Que retenir de cette aventure (mouillée) ?   Mais j’aime ça !!
 
  • La bonne ambiance qui a régné entre nous,  tout le WE, cela donne envie de repartir dans des escapades plus longues et plus lointaines (prévision du Gourou pour l’année prochaine).
 David a déjà tout dit, ou presque !
 
  • Rappelons les erreurs qui nous coutent chères, à cause d’un manque évident de concentration surtout le dimanche !!! Ce n’est pas normal de ne pas lire le raid book convenablement !! Il ne faut pas être quatre à amuser la galerie, même Gill s’y met, au lieu de faire un strip-tease le samedi soir il faut étudier pour le lendemain. (Voir photo compromettante dans l’album photo).
  • En plus sa vue baisse, nous lui faisons confiance pour reproduire une carte et voilà il oublie les balises à reporter ! PS : D’ailleurs en étudiant la photo de plus près avec une grosse loupe, il n’y a pas que la vue !!! 
  • Que David est également un très bon orienteur et qu’avec un peu plus d’assiduité l’hiver il pourrait rivaliser facilement avec notre Manu « Champeausien ». Pour moi ce n’est pas la peine, toujours autant de mal avec ma droite et ma gauche !! David en est même blasé, il oublie d’en parler dans son résumé ! Mais bon je compense à essayer de courir pointer les balises.
                                                                                                                                                        LE BARBU
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1er rédacteur : David (Lundi 5 avril)

Départ 10h de la Maucarrière. Arrivée à 11h15 dans le village départ. Retrait des dossards et montage de la tente. Cela embêtait tout le monde, mais cela c’est avéré très utile. Merci au gourou qui a encore eu une excellente initiative. On mange les différentes salades et on prépare le matos. Les giboulées succèdent aux giboulées et le temps s’annonce pourri. Il sera d’ailleurs pourri.
                                                                                                                            

Pour simplifier :
les lents : Gill, Denis, Mickaël et David.                     Les bombes : Manu et Tom.                  Les ultras : Yvan et Francis

Samedi :
Départ 14h pour : 1,2 km de trail, VTT avec des balises à chercher, une CO dans la forêt à pied, un Bike and run de 3,5 km, une CO photos, un Bike and run de 3,5 km, un retour en VTT avec des balises à prendre sur le chemin, une CO avec une vue satellite. Arrivée 19h. 
Les bombes mettent 20 min au lents.
Douche repas repos.
Départ 22h pour une CO dans la pampa avec un ordre imposé. Retour 24h pour les lents, 23h40 pour les bombes.
Classement pour cette première journée : Les bombes 4e, les lents 6e et 7e.
 
Dimanche :
Levée à 6h. Première phrase de Gill : C’est marrant, il n’y a que nous qui sommes levés. Cela ne va pas durer vu le bruit. Petit dèj à 6h30.
Départ 7h30 pour : 1,2 de trail, VTT en suivi d’itinéraire, VTT road book, Canoë, Tyrolienne ou tir, VTT mémo, sarbacane plus CO urbaine pour les maladroits, VTT traçage, Micro CO au puits d’enfer, Retour en VTT après avoir tracé les balises.
Retour pour 13h au bivouac. Les bombes ont mis encore du temps aux lents.

Les bombes font : plus 1 au classement et finissent 3e (FELICITATIONS !). Les lents font moins 10 au classement et finissent 16e et 17e.
                                                                                                  
Que dire sur ce raid ?
Super raid, super organisation, c’était difficile juste ce qu’il fallait, ambiance au top grâce à tout le monde, chambrage à fond grâce à certains.
Merci aux organisateurs car pour que l’on puisse passer des moments comme ceux-là, certains doivent penser aux autres et faire preuve d’un réel altruisme.
 
Que retenir sur ce raid ?
2 erreurs consécutives peuvent conduire à une balise.
Il faut lire le raid-book pour savoir où pointer les balises sur le carton.
Il faut partir d’un PC en étant sûr d’avoir TOUS les renseignements : Dans le cas contraire il faut être en mesure de suivre d’autres concurrents sans en avoir l’air.

Nous avons souvent pensé aux ultras qui eux n'avaient pas 90 km mais 150 km à faire. A vec le temps que l'on a eu, ils ont eu beaucoup de mérite à finir ce raid. Bravo à eux et peut-être nous raconteront-ils leur expérience dans les prochains jours.

Pour finir, un petit coucou à notre gourou qui découvre en même temps que vous ces quelques lignes. Il n'était au courant de rien et cela doit lui faire drôle. 

                                                                                                                                                                           DAVID



 
 



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